Rencontre en visio le dimanche 30 janvier de 10h à 13h
Attaques antisociales,
politiques liberticides, racisme banalisé, montée de mouvements factieux et violents,
menace néofasciste… La situation est trop grave pour disperser nos
forces : c’est ce que se sont dit une quinzaine de collectifs, réseaux,
associations et partis anticapitalistes, écologistes, alternatifs, féministes
et antiracistes réunis en une première assemblée le 11 novembre dernier.
L’heure est grave en effet face à la destruction du vivant, un véritable
écocide, dans une nouvelle ère géologique qu’on appelle désormais le
capitalocène et un monde humain dévasté par la logique expansionniste de la
concurrence et du marché. C’est pourquoi nous assumons non seulement un
anticapitalisme radical mais tout autant la volonté déterminée d’en sortir et
de prouver qu’il y a là plus qu’un espoir : une nécessité. C’est en ce
sens aussi que l’écologie n’est pas une question supplémentaire :
car le capitalisme est en train de tout saccager. Or ce saccage touche toujours
d’abord celles et ceux qui sont déjà pauvres ou précaires ; il est temps
d’y mettre un terme : « Fin du monde, fin du mois, mêmes coupables,
même combat. »