Alors que la crise sanitaire semble contenue dans notre pays mais qu’elle est encore très présente dans plusieurs régions du globe et que le risque d’un rebond à l’automne existe toujours, c’est la crise économique qui va très vite dominer l’actualité. Crise qui va se rajouter à celle latente mais multidimensionnelle et systémique, à la fois sociale, écologique et démocratique d’un monde dominé par le capitalisme.
Répondre à une telle crise nécessite donc l'élaboration d'un projet alternatif global mais aussi une refondation des organisations de la gauche de transformation.
Pour en discuter avec vous, nous vous invitons à une Réunion-débat sous forme de table ronde le samedi 10 Octobre de 9 h 30 à 17 h au Maltais Rouge 40 rue de Malte 75011 Paris sur le thème .
« De quelle gauche alternative avons-nous besoin aujourd'hui ? ».
Avec la participation de Ludivine Bantigny, Pierre Cours Salies, Alexis Cukier, Elise Lowy, Christian Mahieux
Vous trouverez ci-dessous quelques éléments que nous souhaiterions aborder à cette occasion :
- La situation actuelle pose des défis entièrement nouveaux à celles et ceux qui se réclament d’une gauche de transformation sociale, démocratique et écologique radicale de la société. Face à la défiance, voire au rejet croissant à l’égard des organisations politiques traditionnelles, la construction d’une force de gauche alternative est-elle toujours pertinente aujourd’hui ?
- Quelles fonctions pourrait avoir une telle force dans le contexte présent ?
- Quelles orientations transformatrices (quelle appropriation sociale, quelle écologie, quelles luttes contre les discriminations sociales, raciales et de genre, quelle démocratie) peuvent-elles contribuer à la mise en place d'un nouveau bloc social transformateur ?
- Conquête du pouvoir d’État et/ou développement des alternatives de terrain et des expérimentations ?
- Quels rapports avec les mouvements sociaux et citoyens ?
- Quelle forme d’organisation démocratique pour une telle force ? »
Nous vous y invitons
Henri Mermé
Dommage qu'il n'y ait pas de point de vue postmonétaire.
RépondreSupprimer