La réunion du 5 février a permis de faire le point sur différentes mobilisations et pratiques alternatives basées sur l'auto-organisation et la volonté de leurs acteur·rices de faire par elles et eux-mêmes. C’est d’ailleurs bien souvent le point de départ de ces mouvements alternatifs. La discussion a montré également que la sphère de la politique traditionnelle restait ignorante à l’égard de ces pratiques sans que cela implique de la part des participant·es un rejet de la politique. Nous nous sommes arrêté·es devant la question de ce que portent ces mobilisations en terme de redéfinition d’un projet politique.
Nous en sommes là.
Afin que, comme nous l’avions souhaité, cette séance de travail collectif ne soit pas une rencontre sans lendemain, mais l’ouverture d’un chantier, nous vous proposons de nous revoir en prolongeant le débat :